lundi 28 septembre 2009

Relaxation, Sophrologie

Mon rebouteux est mort. Personne ne l'a remplacé.
Je suis allé voir un sophrologue.
En fait ça ressemble au training autogène de Schultz qu'on faisait avec notre prof de gym.
La première semaine ton bras est lourd,
la deuxième semaine il est chaud.
La troisième semaine t'es couché sur la plage et le soleil se lève, monte au zénith et se couche dans l'eau.
On avait refait ça aux stages CEMEA qui te préparaient au Brevet de moniteur de colo. Ils étaient branchés Gerd Alexander. http://www.institut-eutonie.com/index.php?fiche=314 L'eutonie!
Avec la sophrologie caycédienne,
le patient va chez un praticien qui le plonge dans un état où il va pouvoir se relâcher.
Une fois que les tensions musculaires sont relâchées, la personne souffre moins et éprouve un bien être.
Tout ça repose sur l'autosuggestion .
Ce n'est pas du charlatanisme, l'autosuggestion est assumée.
Le contrat est clair, si le praticien tient bon, s'il n'est pas un praticien autoproclamé.
Mais on tombe parfois sur des péripatrèstriciens .

Avec les méthodes de thérapies manuelles décrites ci dessous,
le contrat n'est pas aussi clair qu'avec l'ancien rebouteux ou avec le sophrologue.
Ces méthodes agissent par autosuggestion sans le dire:
1°) Elles suggèrent au thérapeute qu'il est démuni et qu'on va lui donner un enseignement long et coûteux qui va le délivrer de son inefficacité. Si c'est cher et long, c'est forcément sérieux!
Le thérapeute s'autosuggère qu'il a maintenant une technique fiable.
2°) Elles offrent un contenant au patient pour qu'il arrive à se relâcher en s'abandonnant au "savoir faire" du thérapeute.
Le résultat est souvent bon, puisque les gens sont venus pour qu'on s'occupe d'eux et arrivent ainsi à se relâcher mais le contrat n'est pas clair. Le patient croit que c'est la technique de la thérapie qui agit alors qu'elle n'est qu' un placebo. (étymologie: je plairai )

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